Topcon Positioning et BT Lux travaillent en partenariat depuis 2016. Au-delà d’un simple rapport de fournisseur à revendeur, cette collaboration s’inscrit dans une relation win-win et s’étend jusqu’à une offre de formation développée en commun pour les chefs de chantier et les géomètres.

D’un côté, Topcon Positioning, lea- der sur le marché des systèmes de géopositionnement et de guidage d’engins, avait besoin d’un parte- naire implanté localement afin de pouvoir donner une réponse immé- diate à ses clients luxembourgeois en cas de demande d’intervention, de reprise de matériel, de calibrage, de service après-vente, etc.

De l’autre, BT Lux, unique distribu- teur au Luxembourg de matériel GPS et de stations totales pour les géomètres et conducteurs de chan- tier, cherchait des produits qualita- tifs à fournir à ses clients dans une marque de belle renommée.

La collaboration entre Topcon et BT Lux coulait donc de source. Elle est en place depuis 5 ans déjà et se traduit par de nombreuses réalisa- tions chantiers, techniques et pro- duits, intéressantes pour les deux parties.

Ce partenariat va plus loin que celui de distributeur / fournisseur. Il porte également sur des sessions de formation d’une journée ou une demi-journée. Elles ont lieu à l’IFSB, qui a investi dans son propre maté- riel de topographie et reste à la pointe de la technologie pour être capable de répondre à la demande des entreprises de construction,

et sont données par des forma- teurs internes, avec le soutien de Steve Nollevaux, Account Manager Construction Belux chez Topcon Positioning, pour la partie guidage d’engins et Peter Lepezel, respon- sable produit topographie chez BT Lux, pour la partie topographie.

Elles sont ciblées sur un type de matériel – Topcon et BT Lux pro- posent des solutions topogra- phiques pour le VRD et pour le bâtiment – et sur un type d’utilisa- teur - conducteur de travaux, géo- mètre - en fonction de la demande des entreprises qui souhaitent former leur personnel. « Nos logiciels sont prévus pour travailler avec tous les utilisateurs, mais leur exploitation ne sera pas la même selon les utilisateurs, car chacun a besoin de fonctionnalités diffé- rentes», explique Steve Nollevaux.

Les innovations technologiques proposées par Topcon et BT Lux suscitent un grand intérêt de la part des professionnels, qui sont très demandeurs. « Nos cannes GPS reliées à une tablette équipée d’un logiciel permettent d’être beau- coup plus efficaces sur le chantier, de travailler plus vite, d’avoir un meilleur service et une meilleure précision. Ces solutions techniques sont de plus en plus employées car elles sont très simples à utili- ser. C’est graphique, intuitif, facile à prendre en main. De plus, les données recueillies par les géo- mètres qui réalisent tout un travail en amont pour préparer les plans sont stockées dans le cloud et sont transférées quasiment en temps réel. La liaison se fait sans fil entre la cellule topographie et les chefs de chantier qui sont sur le terrain », souligne Peter Lepezel.

Pour le guidage machines, Topcon est en train de mettre en place une Topcon University à Bruxelles qui proposera une formation de base et une formation avancée, avec des modules définis en fonction des utilisations. Des brevets seront remis aux personnes qui auront suivi ces formations. « Nous par- tons du principe qu’une personne qui est à l’aise sur un logiciel l’uti- lise plus facilement et finit par en avoir besoin, alors que si elle ne le maîtrise pas, elle va le laisser dans l’armoire», indique Steve Nollevaux. Ces modules seront aussi dispen- sés à l’IFSB d’ici quelques mois.

Ce qui fait la force de Topcon et BT Lux, c’est aussi son équipe support qui intervient si le client a une simple question technique, besoin d’un dépannage, d’un conseil ou d’une assistance à distance, par exemple pour revoir la marche à suivre pour accéder une fonctionnalité. « Ce ser- vice est très apprécié car le client ne perd pas une demi-heure à chercher comment faire », précise-t-il. « Nous sommes capables d’accompagner, d’aider nos clients aussi bien en présentiel qu’à distance, en pre- nant la main sur leur écran », ajoute Peter Lepezel.